Dans le cadre de la press junket de Café Society lors du Festival du Film de Cannes 2016, Kristen répond aux questions de Bunker.
Journaliste : Je vais rapidement dire bonjour à la caméra. Pour faire voir aux gens qu'il y a réellement quelqu'un qui vous parle. Comment êtes vous heureuse à propos de ce moment en particulier, de présenter ce film (Café Society) ici à Cannes ? Qu'est ce que cela représente pour vous ?
Kristen : Je ne peux pas vous dire à quel point je suis heureuse en ce moment même. Je suis fières des deux films...
Journaliste : Personal Shopper, avec Olivier Assayas.
Kristen : Oui. Et le groupe de personnes... les deux familles sont soudées, et authentiques. Il n'y a pas de meilleur endroit où l'on peut apporter un film. Je veux dire, honnêtement, il n'y a rien de plus pure... il n'y a pas d'autre festival ou d'avant-première ou des évènements avec tapis-rouge ou autres, qui sont "supposé" parler de notre film qui le font de cette manière. Je veux dire, c'est un pilier [NT: le Festival de Cannes]. Ce n'est pas seulement le prestige qui l'entoure. On peut ressentir tout ceux qui sont venus avant vous. Le fait que je puisse mettre ne serait-ce qu'un de mes orteils dans ce morceau d'Histoire, c'est la chose la plus cool que j'aurais pu imaginer faire depuis l'âge de 9 ans.
Journaliste : Il y a aussi une avant-première qui a lieu en ce moment-même à Bruxelles, durant l'avant-première de Cannes. Ce qui est beau. Que voulez-vous que les gens de cette ville retienne de vous ? Car après les attaques, célébrer l'art et la beauté c'est important. J'en suis sûr.
Kristen : Bien sûr. Et pour être honnête, je ne pense pas à un autre pays au monde qui peut aller dans ce sens. Donc, ils n'ont pas besoin de mon encouragement, car je les trouve inspirant. Alors oui, j'espère qu'ils apprécieront le film.
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