Journaliste : Bonjour Kristen, je suis Danielle. Vous êtes vraiment jolie. Que portez vous ?
Kristen : Je porte du Chanel ce soir.
Il y a une réaction incroyable des fans dehors.
Kristen : Oui, c'est super sympa.
Oui, et il y a des millions de fans à travers le monde qui nous regardent en ce moment en live. Il étaient super excité de te voir. Dîtes bonjour.
Kristen : Oui, comment ça va chez vous ?
Je sais que vous avez fait l'avant première à Venise et vous êtes maintenant à Toronto. Le film explore l'idée de ne plus avoir aucune émotion humaine. Est-ce qu'il y a une émotion sans laquelle vous ne pourriez vivre ?
Kristen : Je pense que je suis une personne très émotive. Je ne sais pas, je pense que certaines émotions peuvent être difficile et faire souffrir. Vous savez après une rupture vous êtes "Je ne veux plus y retourner, je ne retomberais plus jamais amoureux...Je ne veux pas ressentir ça" Vous pensez que vous pouvez éteindre tout ça, mais c'est ce qui nous fais avancer. Un parcours difficile ne me dérange pas.
C'est la vie.
Kristen :Oui, c'est la vie exactement.
Est-ce que l'amour peut tout conquérir, comme peut faire penser le film ?
Kristen : Je veux dire, parfois. Jusqu'à que ça tourne court. Puis vous devez le retrouver à nouveau et c'est bizarre, j'aimerais pouvoir répondre à cette question. C'est de ça que parle ce film. Est-ce que vous pouvez répondre à cette question ? Non ?! Donc vous ne le saurais jamais. Vous vivez simplement dans ce sujet ambigu et émotionnel de ce qui est plus grand que votre vie. Et j'adore ça.
Nicholas Hoult, acteur très talentueux. Vous avez travailler de manière très proche tous les deux. Qu'avez-vous appris à propos de lui, qu'on pourrait ne pas savoir ?
Kristen : Oui. C'est un mec bien, il a été tellement bien élevé. J'ai trouvé que n'importe quelle performance à laquelle je suis rattaché avec un acteur, un cinéaste, un producteur, un musicien n'importe... C'est bizarre quand vous les rencontrez et que vous ne les appréciez pas personnellement. Vous êtes attiré par le travail d'une personne car ils y mettent un part d'eux-même. Nick est ouvert, et curieux et il a une imagination sauvage, il est explorateur et intelligent. En fait, c'est un bon acteur. Tu ne peux pas prendre crédit d'être un espèce de génie, tu as une imagination et tu vas l'explorer. Et il est aussi marrant et sympa, donc je l'adore.
* Red Carpet Diary
Journaliste : Est-ce qu'il y a des thèmes souligner en particulier dans ce film ?
Kristen : Dans un monde, pas juste maintenant mais... être émotif ça n'a vu comme une forte qualité. Vous savez ça peut être plus une qualité féminine. Et donc dans cette histoire, Nia représente typiquement ce pouvoir féminin et Silas le pouvoir masculin. Et l'équilibre entre ces deux-là quand ils sont ensemble, ils peuvent être plus fort que tout. Ce n'est pas nécessairement appliqué qu'au sexe de la personne. C'est un sentiment tellement ésotérique quand tu aimes quelqu'un c'est comme... les gens vont combattre ce sentiment, ça n'a pas de sens pour eux, ça n'a pas de sens car c'est effrayant. C'est plus facile d'être fort et ne rien ressentir. Mais en même temps vous n'allez pas avancer.
Drake : Je ne suis pas tellement intéressé par faire une histoire politique. Je suis simplement intéressé par faire un pièce théorique et magique. Et emmener les gens loin des choses tristes qui existent dans le monde. En espérant qu'ils vont laisser le film les imprégner, qu'ils tombent amoureux et qu'ils se perdent dans tout ça.
Nicholas : Les choses les plus effrayantes dans la vie, mais elles sont aussi les meilleures. Elle a traversé ce pont dans le script, mais c'est difficile. Surtout quand on s'est brûlé une ou deux fois avant.
* Press Association
Nicholas : Un des jeux qu'on devait faire était de dire l'opposé de ce que tu pensais ressentir. Je n'arrivais pas à le faire.
Kristen : Non ! Il est incapable de mentir. C'était tellement évident. C'était une heure à se dire "bonjour", une heure "d'honnêteté", et une heure "vous pouvez parler du moment que c'est un mensonge complet". Et il n'arrivais pas à jouer le jeu, il se plantait à chaque fois.
Nicholas : Je n'arrêtais pas de dire ce que je pensais.
Kristen : Le monde en lui-même s'auto-décrit assez bien.
Nicholas : C'est un mélange de beaucoup de chose. C'est comme une personne qui vous fait une super tasse de café le matin.
Kristen : Oui merci, parfait.
Journaliste : c'est tout ce que ça prend ?
Nicholas : C'est un petit peu de l'amour, oui.
* ETCanada
Journaliste : Tout d'abord, puis-je me permettre de vous dire que j'adore votre sourire.
Kristen : Oh, merci. Vous savez j’entends ça tous les jours. [Rires]
Il est absolument magnifique. Je voulais savoir, car je n'ai pas encore eu la chance de voir le film encore, mais il semble sans détours. Est-ce que vous trouvez que d'être dans ce film, c'est une position vulnérable pour vous ?
Kristen : C'était le but, oui. La seule façon qu'on avait de faire ça bien, du fait de la simplicité de l'histoire, c'est se réveiller pour la première fois, c'est genre vous vous confronter au parcours de la vie à plusieurs reprises. Mais la c'est toutes les premières fois regroupées en une. Et les aléas d'une relation qui vous savez, n'est jamais parfaite. On a tous les deux beaucoup à donner. Et donc la seule manière de pouvoir faire ça c'est de se sentir complètement en sécurité, d'être honnête, curieux, et d'aimer explorer. Nous avons honnêtement donné tout ce qu'on avait.
Vous avez fais un exercice où vous vous disiez "bonjour", pour apprendre à vous connaitre. Est-ce que cela a réellement marché ?
Nicholas : Oui, c'est surprenant tout ce qu'on peut dire, pas en fonction de ce que l'autre dit mais plutôt avec le langage corporel. Oui c'est bizarre de rester à regarder les yeux d'une autre personne pendant aussi longtemps. C'est incroyable tout ce qu'on ressent, ce qu'on apprend et l'environnement qu'on peut créer à partir de tout ça. Pouvoir se sentir vulnérable, en sécurité, ressentir des choses. Un des jeux qu'on devait faire était de dire l'opposé de ce que tu pensais ressentir. Je n'arrivais pas à le faire.
Kristen : Non ! Il est incapable de mentir. C'était tellement évident. C'était une heure à se dire "bonjour", une heure "d'honnêteté", et une heure "vous pouvez parler du moment que c'est un mensonge complet". Et il n'arrivais pas à jouer le jeu, il se plantait à chaque fois.
Nicholas : Je n'arrêtais pas de dire ce que je pensais.
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