dimanche 28 mai 2017

Que disent les premières critiques de Good Time ?

Ce matin, le film était projeté pour la première fois à la presse, nous vous proposons un aperçu de ce que pensent les critiques français:

Les critiques positives:

Les Inrocks  :
"Pattinson est dément, parfaitement à l'unisson décadent du film. Si il ya une justice, le film devrait se retrouver deux fois au palmarès: Prix de mise en scène pour les frères et Prix d'interprétation masculin pour Pattinson . "

Lire l'intégralité de la critique:  ICI

Trois couleurs  :
"Fiévreux, électrisant, glauque, hystérique, émouvant ... Une flopée d'adjectifs nous submerge quand on sort (réjouis) de Good Time. Les frères Safdie (Le plaisir d'être Robé, Mad Love à New York) réveillent la compétition Avec Leur voyage hallucinogène brutale piqué de douceur. " 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Onlike  :
"GOOD TIME est une plongée en avant nocturne et animale, de celui qui ne baisse pas de régime pendant sa centaine de minutes. Les Safdie dirigeant de nombreux départements sur leurs films, indiquent leur volonté De coller au plus près de leurs personnages, leur faisant faire mille choses pour habiter un scénario qui ne freine jamais. Jamais juge, toujours fixé sur le moment suivant, GOOD TIME vous embarque pour un voyage à sens unique. 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Konbini  :
"Il livre dans Good Time une performance impressionnante en endossant le rôle d'un bras cassé prêt à tout pour faire évader son frère de taule après un braquage raté. Look crado, cheveux teints en Platine blond, il balle son regard halluciné dans une ville de New York interlope, faite de néons et de taudis. De quoi lui permettre de rejoindre la short-list des candidats au prix d'interprétation masculin. 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Télérama  :
Braquage loupé, dérive dans les bas-fonds new-yorkais: la fratrie de cinéastes indépendants signe son premier polaire et réussit à intégrer Robert Pattinson dans son univers déglingué. [...] Bon Time est un stimulant film noir, chahuté, imprévisible. Une dérive, entre l'humour, désespoir et violence, dans les bas-fonds new-yorkais, après un hold up raté. [...] L'intégration de l'ex-vampire sentimental de Twilight à ce monde interlope et à cinéma Tout en aléas est parfaitement fluide. 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI



Le Buzzomètre de Canal +  :

Paris Match : 
De presque tous les plans du film, l'acteur anglais Robert Pattinson impressionne dans le rôle de la petite frappe prête à tout pour libérer son frère. Son énergie porte «Good Time», polar hyper-stylisé - la musique électronique de Oneohtrix Point Never est particulièrement trippante - il n'y a pas assez de fond pour l'emporter totalement la mise.

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Première  :
Avec l'humour, le sens de la dérision et l'amour pour leurs personnages de marginaux, les frères Safdie réalisent un hommage appuyé à Martin Scorsese qui, avec After hours et A tombeau ouvert, a Fixé les règles d'une sorte de sous-genre peu fréquenté -mais très fréquentable. Ils ont adapté leur style foutraque aux contraintes imposées -du rythme, du rythme, du rythme- pour un résultat satisfaisant: caméra mobile au plus près de l'action, montage nerveux, musique électro immersive, photo expressionniste. Cette très honnête série B est tirée vers le haut (pas au point quand même de rivaliser avec ses illustres aînées) par un Robert Pattinson qui confirme, film après film, un potentiel explosif. 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Ecran Large  :
Cet écrin délicat, qui dissimule derrière un semblant de dépouillement une élégance remarquable (à laquelle la photographie de Sean Price Williams doit beaucoup), est un terrain de jeu formidable pour Robert Pattinson et Jennifer Jason Leigh, libre de s'épanouir totalement. La capacité des frères Safdie à ménager leur univers très marqué cinématographiquement, en offrant à leurs acteurs un terrain de jeu malléable achève de faire de Good Time uune oeuvre aussi riche que délicate. [...] Derrière ses airs de minuscule polar fauché, bon Time déploie un univers proche de la fantasmagorie où Robert Pattinson impressionne. 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI

L'apologiste  :
Pattinson magnétique
Rien ne se passe comme prévu, rien. Les frères Safdie déballent un film vivant où le rythme effréné vous équilibre dans une quête enflammée, acharnée à travers les bas-fonds d'un New York presque pouilleux. Folie, tentatives vaines, Good Time s'autorise des largesses sans ternir la fluidité et associe son périple à une bande-son complètement déglinguée. Visuellement, bon temps n'est pas en reste. 
La grosse cote vient de Robert Pattinson. Très attaché au cinéma d'auteur depuis son incartade dans Twillight, l'anglais trouve, avec son rôle de Connie, une performance qui place son jeu d'acteur à un autre niveau. Captivant, psychopathe, criminel, il s'enfonce dans la pénombre new yorkaise, les cheveux teints en blond pour la peine. 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Libération 
Pourquoi Connie embarque-t-il tous qui il croise dans sa cavalcade de désastre? Bien sûr par le charme du mégastar Robert Pattinson, à l'image de l'avant-garde de l'armure du couvre-garçon parfumé et devient un candidat sérieux au prix d'interprétation masculin, aussi aussi aussi sûrement, tel l'idiot Éternel, parce qu'il cherche non le mal mais le bien. Lire l'intégralité de la critique:  ICI RFI 



 

Le bleu du miroir  : 
Dynamitant la (longue) liste des films «clichés d'auteur» jusqu'ici présentés dans une compétition cannoise moribonde, ce polar nocturne vient injecter un sang neuf Bienvenu dès son électrique ouverture. Sur pense, bien sûr, à Martin Scorsese, à Sidney Lumet, à James Grey ou encore à Nicolas Enroulement Refn pendentif en pérempier à travers la ville plus, loin de l'occulte, réalisateur de réalisateurs, au contraire, pleinement références parfois jugées Écrasantes. Malgré un scénario inaccompli, ils et leur style propre, une mise en scène au plus près du corps et des visages, pour imposer leur vision de la marginalité. Après une succession de bons choix (chez David Cronenberg, David Michôd ou James Gray), Robert Pattinson crève l'écran dans le rôle principal. Méconnaissable en jeune braqueur pour qui les choses tournent mal, il prouve, une nouvelle fois, l'intensité de son jeu en livrant une prestation mémorable, très d'accord sur l'emporter un beau prix d'interprétation masculin. 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Le Monde 
Cette affection s'étend jusqu'à Connie, qui ne la mérite que par la constance de son amour fraternel. Le reste - les mensonges brevets, la violence physique, l'amitié, l'utilisation émotionnelle d'autrui - en ferait un garçon tout à fait antipathique, s'il n'y avait pas Robert Pattinson. Jusqu'ici, l'ex-star de Twilight, qui a renoncé au cinéma de studio pour les projets indépendants souvent audacieux (le dernier en date étant The Lost City of Z., de James Gray), ne tenait une note par Personnage, certes pas toujours la même. Pour les Safdie, Pattinson, un fichier étendu. Pitoyable puis terrifiant, charmeur puis lubrique, il est un ange. Un ange de la mort qui se prend pour un ange gardien. 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Le blog du cinéma  :
Mené par un Robert Pattinson incroyable accumulant le choix des rôles tous plus les malades les uns que les autres, GOOD TIME devient un film hallucinant et halluciné à mesure qu'il avance. Éclairée aux néons ou à la lumière d'une fête foraine (formidable scène dans le train fantôme), l'histoire se déréalise et devient un voyage sous l'acide dingue, imprévisible. Ce qui donne cette impression de vivre une longue virée nocturne cauchemardesque de laquelle on ne peut s'extirper. Et quand le jour se lève, ce n'est pas pour et mettre fin. Lire l'intégralité de la critique:  ICI Culture Box Quant à Robert Pattinson dans le rôle de Connie, il est remarquable en petite frappe sans envergure qui a une longueur d'avance sur ce qui va se passer, ce qui ne l'empêche Pas de tomber dans les embûches les plus attendues. Son rapport à Nick ne repose pas uniquement sur l'exploitation de la crédulité, mais aussi sur une tendresse fraternelle véritable. Pour une prestation très nuancée, Pattinson est à cette heure le prétendant le plus sérieux au Prix d'interprétation masculin. [...] Un voyage nocturne, sensible et drôle, au rythme d'un thriller endiablé, avec un Robert Pattinson absolument étonnant . Lire l'intégralité de la critique:  ICI Cinéphilia 



 




 
Cependant, l'élément que les spectateurs retiendront en particulier, c'est l'interprétation irréprochable de Robert Pattinson qui confirme le film en film les espoirs placés en lui. Depuis la fin de la saga Twilight, il ne fait que de bons choix, ou presque. De plus, il est chaque fois impeccable, que ce soit avec David Cronenberg ou James Gray. Ici, il ya un jeu bien plus physique que d'habitude. Il y a une démarche, une attitude qu'on ne connaissait jamais le passé. Il s'en sort admirablement bien, au point où l'on se sent un prix d'interprétation ne serait pas volé (mais il n'est pas le seul prétendant ayant de réelles chances). 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Planète Ciné  :
Sondant effectivement les bas-fonds new-yorkais, le film est également un témoignage d'une Amérique des laissés pour compte ou inadaptés dans lequel Robert Pattinson effectue une belle prestation. Parfaitement dans son rôle, l'acteur continue de se détacher de sa trop collante saga Twilight en donnant de sa personne dans l'incarnation d'un homme prêt à tout pour son frère. [...] Les frères Safdie livrent un film atmosphérique Sous tension constante dans les bas fonds de New-York avec une prestation remarquable de Robert Pattinson. 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

On se fait un ciné  :
Avec Good Time, l'acteur trouve là son plus beau rôle. Les cheveux blonds, le regard fixe et la détermination sans faille pour libérer son frère. Filmer New-York de nuit n'est pas un concept novateur plus il fonctionne toujours, surtout ici avec une photographie et des couleurs particulièrement soignées. Il se peut que vous soyez capable d'être capable de réparer avec un prix d'interprétation. 

Lire l'intégralité de la critique:  mise à jour ICI  :


Vanity Fair France  :
"Poursuivie par la caméra folle des frères Safdie (à la recherche sur le prix de la mise en scène), éclairée aux néons et rythmée par les nappes synthétiques étourdissantes signes Oneohtrix Point Never, la nuit chaotique de Connie / Robert Pattinson Il est très séduisant et offert à l'acteur, fils et beau rôle. Celui qui, enfin, après années d'études et de promotions, devrait lui faire décrocher un prix d'interprétation très mérité. "

Lire l'intégralité de la critique:  ICI

Les critiques mitigées:

A voir A lire  :

"Les Safdie bros. Revient avec un faux film de braquage écartelé entre le film et le mélodrame 35 mm. Expérimentations lo-fi sensibles et impétueuses sur un lien fraternel incoercible. [...] Dans le rôle de Cet article est disponible en français et en anglais. Robert Pattinson, en baratineur magnifique - souvent drôle, jamais désabusé -, redouble sans arrêt de roublardise. Caméléon sympathique et attentionné, il traverse les espaces - voir ces cadrages stupéfiants d'un Nouveau York tortueux ou ces couloirs interminables pour signifiant l'enfer - et déjoue presque toutes les embûches. " 

Lire l'intégralité de la critique:  ICI

Télérama: à partir de 11.40 (critiques positives pour Robert mais mitigées pour le film)

Les Echos  :


Pour pathétique qu'elle soit, la dérive nocturne de Connie laisse aussi une place à l'humour. L'acharnement absurde mis par Connie à récupérer Nick frôle l'inconscience plus elle exprime la puissance de l'amour fusionnel entre les deux frères. Chacun dans son rôle, Robert Pattinson et Benny Safdie sont parfaits. "Good Time" est un film de genre musclé et malin, un peu «déjà vu» - un peu trop pour être exposé aux feux de la compétition officielle. A moins que les Safdie ne réitèrent l'exploit des Coen qui, peu connus, sinon des cinéphiles, sont repartis avec la palme d'or. On leur souhaite, mais il manque à «Good Time» la folie surréaliste de «Barton Fink» qui avait séduit Roman Polanski.

Lire l'intégralité de la critique:  ICI 

Cinematraque  : critique mitigée pour le fil plus positif pour Robert:

Mais ces qui polissent le plus l'écran, je suis les deux frères. Robert Pattison, comme dans La ville perdue de Z il ya quelques mois, comme dans les films de Cronenberg avant à Cannes, est toujours fantastique. C'est cette petite lueur dans les yeux qui montre l'intelligence du personnage en fait; Ce petit truc en plus qui donne sa force au film. Parce que oui, il a beau avoir raté son coup, il n'en est pas moins très futé.

Lire l'intégralité de la critique:  ICI

Http://therpattzrobertpattinson.blogspot.be/

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...