Journaliste : C’est marrant que vous soyez tous les deux ensembles pour les interviews, car vous êtes les deux forces qui s’opposent dans la vie de Billy.
Kristen Stewart : [Rires] Ouais.
Journaliste : Comment ça se passe ?
Kristen Stewart : C’est marrant, à chaque fois que cette notion est suggérée je me retourne vers lui en faisant…Comme si je ressentais de la compétition face à lui. [Rires]. Ce sont deux émotions très contrastées et des opinions pragmatiques vers ce qui est en quelque sorte descendu.
Garrett Hedlund : Des challengers.
Kristen Stewart : Oui, avec la guerre en Irak. Je joue la sœur de Billy Lynn, qui n’est pas seulement protectrice envers son frère mais aussi qui est sensible au pourquoi les choses se passent. Elle tombe du côté gauche mais en même temps elle a plus envie de simplement comprendre quelque chose qui semble un peu confus. Elle veut que la fierté de son frère soit réelle et elle veut aussi le protéger.
Journaliste : Et votre personnage Garrett ?
Garrett Hedlund: Je pense que c’est un sergent qui essaye toujours de le challenger, il l’observe … Vous savez, il se revoit un peu en lui. Il veut que Billy exerce à son plus haut potentiel. Il voit un soldat, le futur meilleur soldat germer en lui. Il veut simplement que Billy soit le meilleur.
Journaliste : Mais il est aussi conscient que la sœur de Billy que ces gars se font avoir.
Garrett Hedlund : Oui. Il pense que parce ce qu’ils ont signé pour ça, ils n’ont pas vraiment le choix. C’est le devoir d’abord. Et il est loyal à cela.
Journaliste : C’est comme regarder … En fait il y a deux guerres qui se passent. Il y a la guerre en Irak et cette guerre de propagande orwellienne qui se passe dans le pays. Pouvez-vous parler de ça ?
Kristen Stewart: Oui, il y a une sorte d’objectif de divertissement romancé ou le mot le plus approprié serait dramatisé. Cette histoire étant vendue. C’est une bonne histoire à raconter aujourd’hui au vue des médias. Ce que l’on voit nous raconte toujours une histoire différente. Vous savez, quand vous rentrez à la maison après quelque chose comme ça, ce n’est pas seulement difficile de venir à terme avec… je veux dire, je ne parle pas du tout avec la perspective de quelqu’un qui l’a vécu… Mais reconnaître ça, que c’est vraiment réel pas seulement pour ces gens mais pour nous tous. C’est difficile de faire cette distinction parfois à cause de la distance que l’on prend pour absorber ces histoires, ça en place à l’extérieur. Ça ne nous semble pas réel pour nous. Et c’est effrayant, car c’est réel !
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