dimanche 6 novembre 2016

Billy Lynn's Long Halftime Walk : Interview de Kristen & Joe Alwyn avec Backstage OL


Journaliste : Super travail, tous les deux. Mais je dois commencer avec vous … Au fait c’est sympa de vous revoir.
Kristen Stewart : Merci, de même.
Journaliste : C’est votre tout premier rôle.
Joe Alwyn : Oui.
Journaliste : Mec …Vous êtes fière de lui ?
Kristen Stewart : Je suis vraiment très fière.
Journaliste : Vous avez fait un boulot incroyable.
Joe Alwyn : Merci beaucoup.
Journaliste : J’ai lu des histoires sur la manière dont vous avez auditionné pour ce rôle, mais vous étiez à l’université et pouf vous êtes là. Est-ce vrai ?
Joe Alwyn : J’étais dans une école d’art dramatique, c’était ma dernière année. Je n’ai pas auditionné, on m’a envoyé des parties de scénario par un agent. J’ai fait quelques prises de certaines scènes. Et ils m’ont mis dans un avion deux jours plus tard pour rencontrer Ang et on a lu une tonne de scènes. Je suis resté envers 10 jours à New York, j’ai fait des tests pour voir comment j’étais à l’écran, et des tests de maquillages et de costumes. On a fait le tour des pièces manquantes et je suis ensuite rentrait chez mois au bout de 10 jours ; et on m’a appelé le jour d’après pour me dire que j’avais le rôle et que je devais partir trois jours plus tard. Tout ça s’est passé vraiment très vite.
Journaliste : Comment l’histoire s’est retrouvée devant vous ?
Kristen Stewart : De manière assez traditionnelle. J’ai lu le scénario, c’était une expérience assez pressurisée car je savais qu’Ang faisait ce film et j’ai grandi avec ces téléphones et je voulais faire n’importe quoi avec lui. Mais j’avais peur que… je veux dire, vous avez peur de ne pas aimer quelque chose que quelqu’un vous présente. Au premier abord je pensais que c’était … C’était une histoire importante à raconter mais c'est aussi incroyablement … Il y a beaucoup de compassion et l’histoire n’a pas de parties pris ce que je trouve vraiment intéressant. J’ai quatre scènes pour donner tout ce que j’ai et faire passer un message. J’ai donc regardé ça comme un gros challenge et je voulais faire partie de ça comme un grand pas en avant dans la manière dont nous voyons les films. C’était émouvant, je voulais faire partie de l’expérience.
Journaliste : Je viens de Houston, Texas. Et dans le film, il y a une scène où il y a ce gars, je veux savoir si vous l’avez rencontré ? J’ai crié quand il était à l’écran, on l’aime à mourir à Houston, Texas. Je parle évidemment de 99 JJ Watt. Est-ce que vous avez eu l’occasion de rencontrer JJ ?
Joe Alwyn : Oui, on a fait une scène ensemble.
Journaliste : Oui, je sais ça. Mais avez-vous passé du temps ensemble ?
Kristen Stewart : Est-ce qu’il t’a dit ‘bonjour’ ? [Rires]
Joe Alwyn : Il était là toute la journée … Mais oui il est venu un soir … Mais oui il était génial.
Journaliste : Vous aviez entendu parler de lui avant ça ?
Joe Alwyn : Non.
Journaliste : [Rires] Je lui ferais voir cette interview. Était-il sympa ? J’espère que oui.
Joe Alwyn : Oui ils étaient tous les deux très sympa. Mais je ne connaissais rien du football américain avant. Je ne connaissais pas le concept ni les règles de ce sport. Ce sont des gars sympas.
Journaliste : Il vit à côté de chez moi, il a la grande maison. Mais c’est un grand gars et un super mec. Dernière question pour tous les deux. Que représente ce film pour vous ? Je sais qu’il y a cette avancée technologique mais il y a aussi un fort message. Je voudrais savoir ce que cela représente pour vous.
Kristen Stewart : C’est en quelque sorte l’une des premiers essais d’histoire de soldats rentrant chez eux de notre génération. On a vu des tonnes de films à propos de nos parents ou grands-parents et leurs expériences avec la guerre. Je pense qu’on a une relation distante par avec ça. Cela personnalise, humanise en quelque sorte cette histoire et notre idée du soldat. Je pense qu’il est important de reconnaître qu’on n’ait pas la réponse à tout, mais de continuer à se poser les questions. La manière dont nous consommons toute cette information, c’est difficile de la traiter car on regarde la guerre à la télévision et donc à chaque fois qu’on change de chaîne c’est une vue complètement différent. Et cette frustration es exprimé dans cela, de la réelle fierté est exprimée dans cela, je ne pense pas qu’il y ait besoin que les deux soient en conflit. Je pense que cette frustration apprenne à l’autre … Vous voyez ce que je veux dire ? Il pose beaucoup de questions et je pense que c’est assez important.



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