Après le Festival de Cannes 2016, Kristen revient sur le sol américain pour promouvoir Café Society de Woody Allen dans l'émission matinale Good Morning America, à New York, le lundi 11 juillet.
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KSF par romaniankrisbian
[Extrait du film]
Journaliste : Bien sûr je peux comprendre Jesse Eisenberg. On m'a souvent mis dans la Friend Zone, de nombreuses fois dans ma vie. C'est super de vous avoir avec nous. Félicitations pour tout votre succès. On vous a vue tout au long de votre carrière dans ces rôles dramatiques et dans ce film vous interprétez le rôle d'une jeune secrétaire d'un studio de cinéma fun et pétillante. Et vous déchirez tout. Combien ce rôle vous a poussé et sortie de votre zone de confort ?
Kristen : Oui, je joue quelqu'un qui essaie de rendre facilite cette sorte de romance coupable et inconventionnelle, de manière que cela fonctionne si son énergie était lumineuse et attirante tous le temps. J'ai auditionné pour ce rôle car... je peux êtres pleine d'énergie mais j'ai tendance à avoir une énergie plus retenue. Et donc Woody était là "du moment que tu n'agis pas comme un vendeur" [Rires]. Et donc j'ai auditionné pour ce rôle et apparemment c'était plutôt bon.
Journaliste : Vous avez fait un travail incroyable. Nous venons juste de voir ce petit clip avec Jesse Eisenberg. C'est a troisième fois que vous travaillez sur un film avec lui. Qu'aimez vous dans le fait de travaillez avec lui ?
Kristen : Il est incroyablement intelligent. Honnêtement. Au lieu d'être intimidant, j'ai envie de le suivre. Je ne suis jamais embarrassé à ses côtés. C'est une personne très ouverte et chaleureuse. C'est un bon acteur, je le connais depuis des années. Donc jouer quelqu'un aussi éloigné de moi était facile avec lui. Je pourrais faire n'importe quoi et ne jamais me sentir absurde.
Journaliste : Votre personnage se trouve dans un triangle amoureux dans ce film, avec les personnages de Jesse Eisenberg et de Steve Carell qui est votre patron [NT : dans le film]. Comment Vonnie décide-t-elle "Hey, c'est l'homme qu'il me faut." ?
Kristen : C'est ce genre d'histoire douce-amer. Ces gens à la fin de leur vie regardent en arrière et pensent à toutes les hypothèses qui auraient pu se produire. Il n'y a rien de de malheureux à propos de leur vie. Maintenant c'est "Qui sais ce qui aurait pu se passer si tu avais pris quelques décisions différentes". Etre capable de donner de la valeurs à ces décisions et ne pas se sentir... Il ne viennent pas avec certains besoins et se disent après qu'elles sont sans intérêt. Vous pouvez appréciez de petites choses dans la vie qui n'ont pourtant pas la forme parfaite, vous comprenez ce que je veux dire ?
Journaliste : Et félicitations aussi, car nous avons entendu dire que vous alliez réaliser votre premier court métrage. A quoi pouvons-nous s'attendre ?
Kristen : Le truc cool avec les courts-métrages c'est que l'on ne doit pas se conformer des standards particuliers. Je ne sais pas, je n'ai pas envie d'en parler pour le moment [Rires]. C'est un truc auquel je pense depuis trois ans. Ça me tient vraiment à cœur. Et on va commencer à tourner dans trois semaines. Tout va se mettre en place.
Journaliste : C'est super cool, car vos parents ont fait aussi un peu de réalisation. C'était quelque chose que vous vouliez faire à un jeune âge...
Kristen : Oui, j'ai grandi en allant sur les plateaux de tournage. J'adore tout le processus, je suis omnibulée par tout ça. J'ai voulu faire ça depuis que j'ai 9 ans.
Journaliste : J'ai hâte de voir ça. Merci beaucoup d'être ici.
http://www.kstewfrance.com/
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