Kristen et les unes ... L'histoire continue ! Kristen fait cette fois-ci la couverture du magazine britannique Diva Magazine [édition de décembre 2015] dans lequel elle accorde également une interview.
Diva découvre ce qui s'est passé dans la vie de Kristen Stewart depuis Twilight, la raison pour laquelle elle évite les blockbusters et à quoi cela ressemble de vivre sous les projecteurs des tabloïds.
Kristen Stewart a fait les gros titres depuis qu'elle a décroché la célébrité en tournant sous les traits de Bella Swan dans Twilight, en 2008. Le film, basé sur la trilogie des livres de Stephenie Meyer, a créé une franchise au succès phénoménal, engrangeant plus de 5,3 milliards de dollars et catapulté Stewart dans la super célébrité. La jeune star a figuré dans à peu près chaque classement concernant la richesse depuis 2010 avec des gains dont on dit qu'ils atteignent 30 à 40 millions de dollars et la jeune femme de 25 ans d'ores et déjà plus de récompenses sur sa cheminée que la plupart des acteurs en gagneront dans toute leur carrière. Mais, malgré des performances saluées par la critique dans des films qui incluent Still Alice et Clouds Of Sils Maria, et dont on dit qu'elle interprétera l'amante de Chloë Sevigny dans un film à venir au sujet de Lizzie Borden, ce n'est pas le travail de Stewart qui a créé les gros titres mentionnés ci-dessus, mais sa vie personnelle.
Bien sûr, certains diront que l'invasion de la vie privée est le prix à payer pour le succès rencontré par l'actrice et ses pairs, mais l'examen minutieux accordé à Stewart par les médias semble disproportionné même par ces critères et malgré un refus catégorique de se mêler au jeu des tabloïds, ils continuent à lui demander de jouer.
Cet examen a pris une tournure bien pire l'année dernière, lorsque durant une interview avec le Sunday Mirror, Jules, la mère de K-Stew aurait dit à Sharon Feinstein que sa fille fréquenterait la productrice en effets spéciaux Alicia Cargile avant de nier plus tard d'avoir dit une telle chose, provoquant l'explosion d'internet dans le processus. Beaucoup se sont demandés si Jules avait balancé sa fille, menant Kristen à préciser plus tard le fait qu'elle ne pourrait pas faire un coming out parce qu'elle n'aurait jamais été dans cette situation, déclarant au magazine Nylon que sa sexualité et sa relation n'avaient aucun secret.
'Faites des recherches sur Google me concernant, je ne me cache pas', a t-elle dit, envoyant des ondes de choc parmi les commérages des tabloïds dans le monde entier.
Cela aurait dû être la fin du débat en tout en état de cause, mais l'admission de Kristen qu'elle n'était pas à 100% hétérosexuelle a simplement ajouté de l'huile sur le feu et les tabloïds continuent à exploiter des sources anonymes 'proches du couple' pour spéculer furieusement sur le statut de leur relation et si Kristen va 'retourner vers les hommes' – à cause de la misogynie et de la biphobie. 'C'est genre je me retrouve impliquée dans une bande dessinée hebdomadaire', a t-elle dit à Nylon. C'est épuisant pour un spectateur, n'ayant pas à l'esprit qu'elle est la personne soumise à toutes les rumeurs et les ragots. Pas étonnant qu'elle ne soit pas sur les réseaux sociaux.
Donc, avec cela à l'esprit, nous avons pensé qu'il serait bon de mettre l'accent sur la chose principale, à propos de laquelle les gens devraient parler – son jeu d'actrice.
Journaliste : Equals est fondé sur la notion très intéressante d'une société qui a réussi à éliminer les émotions. Comment abordez-vous un film comme celui-ci lorsque l'on vous demande de travailler contre votre propre talent et votre nature en tant qu'actrice pour dépeindre les émotions ?
Kristen Stewart : C'était effrayant de bien des manières. Nicholas [Hoult] et moi avons passé beaucoup de temps à simplement parler l'un avec l'autre et ne pas montrer beaucoup d'émotion visible. Nous jouons des gens qui sont attirés l'un vers l'autre mais si cela est considéré comme un comportement tabou.
Journaliste : Votre personnage Nia est celui qui est le plus 'touché par le syndrome' comme il est connu dans la société futuriste …
Kristen Stewart : Nia est la seule qui peut accéder à ses émotions en permanence, même si elle n'a pas le droit de montrer ces émotions.
Donc cela signifiait que je devais me mettre dans la position d'avoir ces sentiments mais d'avoir besoin de les contenir en quelque sorte et de ne pas laisser ce qui se passe à l'intérieur d'elle. De ma propre expérience dans ce monde du divertissement, c'est souvent un rôle que j'ai eu à jouer, où vous devez vous présenter d'une certaine façon même si vous pourriez avoir un mauvais jour ou passer par un grand nombre de questions dans votre vie. Nous pouvons tous comprendre ce genre de situation parce que dans la vie quotidienne, vous êtes souvent placé sur un mauvais front tout simplement parce que ce ne serait pas socialement acceptable de révéler quels sont exactement ses sentiments.
Journaliste : Vous avez tenté de vous tracer un chemin différent dans le milieu du cinéma depuis que votre travail sur Twilight est terminé.
Kristen Stewart : J'ai besoin de choisir des films basés sur ce que mon instinct me dit plutôt de que d'approcher les choses tactiquement. J'ai pris une décision consciente d'éviter les blockbusters et de choisir des plus petits projets qui pourraient attirer moins l'attention et ne pas être très commerciaux mais qui vont me satisfaire artistiquement. Mon seul véritable plan est de faire un travail intéressant qui je l'espère me permettra d'évoluer en tant qu'individu et de me mener à de meilleures choses sur la route.
Journaliste : Est-ce que vous aimez avancer à contre courant lors que vous travaillez sur des films comme Camp X-Ray, Sils Maria ou dans quelque chose comme Equals ?
Kristen Stewart : J'ai carrément un côté rebelle ! [Rires] J'aime être capable de faire les choses à ma façon et être en mesure de tailler ma propre identité sans trop me soucier de ce que les autres attendant que vous fassiez. Lorsqu'il s'agit de mon travail, je ne ferais pas un film dans lequel je ne ressens pas complètement l'histoire et le personnage que je joue. J'ai besoin d'être totalement investie émotionnellement dans chaque projet que c'est la seule façon avec laquelle je peux travailler.
Journaliste : Cela n'a pas été facile pour vous de gérer toute l'attention que vous avez reçu plus tôt dans votre carrière lorsque vous étiez encore très jeune. Êtes-vous toujours timide lorsqu'il s'agit d'être sous les projecteurs ?
Kristen Stewart : J'ai toujours été timide. Je suis toujours comme ça aujourd'hui, même après avoir été dans cette industrie presque toute ma vie et avoir grandi connaissant tout au sujet des films. Jouer la comédie a toujours été un refuge vis à vis du monde réel qui m'a permis d'oublier qui je suis et peu importe mon anxiété quant à savoir quoi faire de ma vie. Au départ, je voulais écrire et peut être travailler comme réalisatrice, mais ensuite le métier d'actrice a pris le dessus et c'est devenu mon but principal. J'aime toujours jouer la comédie, peut être plus que jamais maintenant que je fais le genre de travail que je veux faire.
Journaliste : Vous avez travaillé avec un certain nombre d'actrices exceptionnelles. Qui vous a influencé ou inspiré ?
Kristen Stewart : J'ai énormément appris en travaillant avec certains acteurs incroyablement talentueux. Sur Sils Maria, j'étais fascinée par la quantité de recherches que Juliette [Binoche] a mis dans sa préparation. Elle revient constamment sur le scénario, parlant de ses scènes avec vous ou le réalisateur et allant aussi profond qu'elle le peut dans son travail. Lorsque que j'ai travaillé avec Julianne Moore, malgré tout, j'ai vu la façon dont elle prenait une approche différente et elle était plus axée sur les émotions de son personnage, étant plus introspective et comptant plus sur ses instincts. J'aime être en mesure de trouver un juste milieu entre ces façons de travailler pour que je puisse aller au-delà de toutes les choses personnelles qui me bloquent et de trouver l'âme et l'essence de mon personnage et d'essayer d'être très rigoureuse pour faire ça tout en utilisant autant que possible mon instinct et ma spontanéité.
Journaliste : Que signifie jouer la comédie pour vous ? Est-ce thérapeutique ? Cathartique ?
Kristen Stewart : Je vois cela comme un moyen de regarder plus profondément dans votre propre psychologie lorsque vous essayez de comprendre ce qui fait que vos personnages se comportent de la façon dont ils se comportent et qui ils sont réellement. C'est un processus qui me permet d'en apprendre plus sur moi-même, même si je pense tout simplement que vivre tous les jours et être avec d'autres personnes m'aident à faire ça également. Je veux croire que je vis le plus honnêtement et authentiquement possible.
Journaliste : Est-ce que vous sentez plus à l'aise avec la personne que vous êtes ces jours-ci ?
Kristen Stewart : Je suis bien plus heureuse et je me sens vraiment bien. J'ai le sentiment que je peux être moi-même et que je ne me permets pas de me laisser distraire par d'autres considérations ou des conseils de personnes. Plus tôt dans ma carrière, j'ai eu bien trop de gens qui me disaient ce que je devais faire et c'était difficile pour moi de gérer tout cela. C'était très confus pour moi parce que j'ai toujours été le genre de personne qui aime faire ses propres trucs. Mais lorsque votre carrière atteint une certaine échelle, il y a tellement de responsabilités qui s'accompagnent et parfois vous avez le sentiment que votre vie ne vous appartient plus du tout. C'est pourquoi j'ai décidé de changer beaucoup de choses sur la façon dont je travaillais et d'essayer d'être fidèle à moi-même.
Journaliste : Avez-vous atteint ce point maintenant ?
Kristen Stewart : Il est important de comprendre dès que possible ce que vous voulez vraiment dans la vie. Certaines personnes ne comprennent jamais cela, mais je pense que je suis en mesure de donner un sens à ce que je veux accomplir et la manière dont je veux vivre … La chose la plus importante est d'être vraiment heureux.
Kristen Stewart a fait les gros titres depuis qu'elle a décroché la célébrité en tournant sous les traits de Bella Swan dans Twilight, en 2008. Le film, basé sur la trilogie des livres de Stephenie Meyer, a créé une franchise au succès phénoménal, engrangeant plus de 5,3 milliards de dollars et catapulté Stewart dans la super célébrité. La jeune star a figuré dans à peu près chaque classement concernant la richesse depuis 2010 avec des gains dont on dit qu'ils atteignent 30 à 40 millions de dollars et la jeune femme de 25 ans d'ores et déjà plus de récompenses sur sa cheminée que la plupart des acteurs en gagneront dans toute leur carrière. Mais, malgré des performances saluées par la critique dans des films qui incluent Still Alice et Clouds Of Sils Maria, et dont on dit qu'elle interprétera l'amante de Chloë Sevigny dans un film à venir au sujet de Lizzie Borden, ce n'est pas le travail de Stewart qui a créé les gros titres mentionnés ci-dessus, mais sa vie personnelle.
Bien sûr, certains diront que l'invasion de la vie privée est le prix à payer pour le succès rencontré par l'actrice et ses pairs, mais l'examen minutieux accordé à Stewart par les médias semble disproportionné même par ces critères et malgré un refus catégorique de se mêler au jeu des tabloïds, ils continuent à lui demander de jouer.
Cet examen a pris une tournure bien pire l'année dernière, lorsque durant une interview avec le Sunday Mirror, Jules, la mère de K-Stew aurait dit à Sharon Feinstein que sa fille fréquenterait la productrice en effets spéciaux Alicia Cargile avant de nier plus tard d'avoir dit une telle chose, provoquant l'explosion d'internet dans le processus. Beaucoup se sont demandés si Jules avait balancé sa fille, menant Kristen à préciser plus tard le fait qu'elle ne pourrait pas faire un coming out parce qu'elle n'aurait jamais été dans cette situation, déclarant au magazine Nylon que sa sexualité et sa relation n'avaient aucun secret.
'Faites des recherches sur Google me concernant, je ne me cache pas', a t-elle dit, envoyant des ondes de choc parmi les commérages des tabloïds dans le monde entier.
Cela aurait dû être la fin du débat en tout en état de cause, mais l'admission de Kristen qu'elle n'était pas à 100% hétérosexuelle a simplement ajouté de l'huile sur le feu et les tabloïds continuent à exploiter des sources anonymes 'proches du couple' pour spéculer furieusement sur le statut de leur relation et si Kristen va 'retourner vers les hommes' – à cause de la misogynie et de la biphobie. 'C'est genre je me retrouve impliquée dans une bande dessinée hebdomadaire', a t-elle dit à Nylon. C'est épuisant pour un spectateur, n'ayant pas à l'esprit qu'elle est la personne soumise à toutes les rumeurs et les ragots. Pas étonnant qu'elle ne soit pas sur les réseaux sociaux.
Donc, avec cela à l'esprit, nous avons pensé qu'il serait bon de mettre l'accent sur la chose principale, à propos de laquelle les gens devraient parler – son jeu d'actrice.
Journaliste : Equals est fondé sur la notion très intéressante d'une société qui a réussi à éliminer les émotions. Comment abordez-vous un film comme celui-ci lorsque l'on vous demande de travailler contre votre propre talent et votre nature en tant qu'actrice pour dépeindre les émotions ?
Kristen Stewart : C'était effrayant de bien des manières. Nicholas [Hoult] et moi avons passé beaucoup de temps à simplement parler l'un avec l'autre et ne pas montrer beaucoup d'émotion visible. Nous jouons des gens qui sont attirés l'un vers l'autre mais si cela est considéré comme un comportement tabou.
Journaliste : Votre personnage Nia est celui qui est le plus 'touché par le syndrome' comme il est connu dans la société futuriste …
Kristen Stewart : Nia est la seule qui peut accéder à ses émotions en permanence, même si elle n'a pas le droit de montrer ces émotions.
Donc cela signifiait que je devais me mettre dans la position d'avoir ces sentiments mais d'avoir besoin de les contenir en quelque sorte et de ne pas laisser ce qui se passe à l'intérieur d'elle. De ma propre expérience dans ce monde du divertissement, c'est souvent un rôle que j'ai eu à jouer, où vous devez vous présenter d'une certaine façon même si vous pourriez avoir un mauvais jour ou passer par un grand nombre de questions dans votre vie. Nous pouvons tous comprendre ce genre de situation parce que dans la vie quotidienne, vous êtes souvent placé sur un mauvais front tout simplement parce que ce ne serait pas socialement acceptable de révéler quels sont exactement ses sentiments.
Journaliste : Vous avez tenté de vous tracer un chemin différent dans le milieu du cinéma depuis que votre travail sur Twilight est terminé.
Kristen Stewart : J'ai besoin de choisir des films basés sur ce que mon instinct me dit plutôt de que d'approcher les choses tactiquement. J'ai pris une décision consciente d'éviter les blockbusters et de choisir des plus petits projets qui pourraient attirer moins l'attention et ne pas être très commerciaux mais qui vont me satisfaire artistiquement. Mon seul véritable plan est de faire un travail intéressant qui je l'espère me permettra d'évoluer en tant qu'individu et de me mener à de meilleures choses sur la route.
Journaliste : Est-ce que vous aimez avancer à contre courant lors que vous travaillez sur des films comme Camp X-Ray, Sils Maria ou dans quelque chose comme Equals ?
Kristen Stewart : J'ai carrément un côté rebelle ! [Rires] J'aime être capable de faire les choses à ma façon et être en mesure de tailler ma propre identité sans trop me soucier de ce que les autres attendant que vous fassiez. Lorsqu'il s'agit de mon travail, je ne ferais pas un film dans lequel je ne ressens pas complètement l'histoire et le personnage que je joue. J'ai besoin d'être totalement investie émotionnellement dans chaque projet que c'est la seule façon avec laquelle je peux travailler.
Journaliste : Cela n'a pas été facile pour vous de gérer toute l'attention que vous avez reçu plus tôt dans votre carrière lorsque vous étiez encore très jeune. Êtes-vous toujours timide lorsqu'il s'agit d'être sous les projecteurs ?
Kristen Stewart : J'ai toujours été timide. Je suis toujours comme ça aujourd'hui, même après avoir été dans cette industrie presque toute ma vie et avoir grandi connaissant tout au sujet des films. Jouer la comédie a toujours été un refuge vis à vis du monde réel qui m'a permis d'oublier qui je suis et peu importe mon anxiété quant à savoir quoi faire de ma vie. Au départ, je voulais écrire et peut être travailler comme réalisatrice, mais ensuite le métier d'actrice a pris le dessus et c'est devenu mon but principal. J'aime toujours jouer la comédie, peut être plus que jamais maintenant que je fais le genre de travail que je veux faire.
Journaliste : Vous avez travaillé avec un certain nombre d'actrices exceptionnelles. Qui vous a influencé ou inspiré ?
Kristen Stewart : J'ai énormément appris en travaillant avec certains acteurs incroyablement talentueux. Sur Sils Maria, j'étais fascinée par la quantité de recherches que Juliette [Binoche] a mis dans sa préparation. Elle revient constamment sur le scénario, parlant de ses scènes avec vous ou le réalisateur et allant aussi profond qu'elle le peut dans son travail. Lorsque que j'ai travaillé avec Julianne Moore, malgré tout, j'ai vu la façon dont elle prenait une approche différente et elle était plus axée sur les émotions de son personnage, étant plus introspective et comptant plus sur ses instincts. J'aime être en mesure de trouver un juste milieu entre ces façons de travailler pour que je puisse aller au-delà de toutes les choses personnelles qui me bloquent et de trouver l'âme et l'essence de mon personnage et d'essayer d'être très rigoureuse pour faire ça tout en utilisant autant que possible mon instinct et ma spontanéité.
Journaliste : Que signifie jouer la comédie pour vous ? Est-ce thérapeutique ? Cathartique ?
Kristen Stewart : Je vois cela comme un moyen de regarder plus profondément dans votre propre psychologie lorsque vous essayez de comprendre ce qui fait que vos personnages se comportent de la façon dont ils se comportent et qui ils sont réellement. C'est un processus qui me permet d'en apprendre plus sur moi-même, même si je pense tout simplement que vivre tous les jours et être avec d'autres personnes m'aident à faire ça également. Je veux croire que je vis le plus honnêtement et authentiquement possible.
Journaliste : Est-ce que vous sentez plus à l'aise avec la personne que vous êtes ces jours-ci ?
Kristen Stewart : Je suis bien plus heureuse et je me sens vraiment bien. J'ai le sentiment que je peux être moi-même et que je ne me permets pas de me laisser distraire par d'autres considérations ou des conseils de personnes. Plus tôt dans ma carrière, j'ai eu bien trop de gens qui me disaient ce que je devais faire et c'était difficile pour moi de gérer tout cela. C'était très confus pour moi parce que j'ai toujours été le genre de personne qui aime faire ses propres trucs. Mais lorsque votre carrière atteint une certaine échelle, il y a tellement de responsabilités qui s'accompagnent et parfois vous avez le sentiment que votre vie ne vous appartient plus du tout. C'est pourquoi j'ai décidé de changer beaucoup de choses sur la façon dont je travaillais et d'essayer d'être fidèle à moi-même.
Journaliste : Avez-vous atteint ce point maintenant ?
Kristen Stewart : Il est important de comprendre dès que possible ce que vous voulez vraiment dans la vie. Certaines personnes ne comprennent jamais cela, mais je pense que je suis en mesure de donner un sens à ce que je veux accomplir et la manière dont je veux vivre … La chose la plus importante est d'être vraiment heureux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.