vendredi 24 octobre 2014

Camp X-Ray : Peter Sattler et Lane Garrison mentionnent Kristen dans des interviews


AwardsCircuit : S'il a écrit le scénario avec personne en tête, comment le casting pour le film a été fait ?
Peter Sattler : Je n'avais personne en tête en fait, parce que je n'étais pas sûr de quel genre d'ampleur je pouvais le faire. Je l'écrivais et je n'avais aucune idée si j'allais avoir une grande star ou un acteur génial ou quoi, et par chance, on a eu les deux dans les deux rôles... la première une star Américaine et l'autre une star Iranienne. Ils sont tous les deux des acteur vraiment géniaux, mais c'est cette chose intéressante où vous avez cette chose dans votre tête et cette idée sur une page, mais une fois que j'ai pensé à Kristen pour le rôle, j'étais chanceux de l'avoir parce que je ne pouvais pas me l'enlever de la tête après ça. Elle était exactement la personne qui devait jouer ce rôle parce qu'elle est un mélange parfait entre solide et vulnérable. Elle est l'une des plus grandes actrices dans le monde à parler sans parler. Elle peut faire plus avec son visage que n'importe qui d'autre et c'était essentiel pour faire que ce rôle fonctionne. C'est pareil avec Payman, je ne pouvais pas le sortir de ma tête. Vous avez raison cependant, c'est la plus grande décision dans le film et c'est avec ça qu'il vit ou qu'il meurt. Si la relation entre les deux personnage ne fonctionne pas alors c'est inutile de faire le film.

AwardsCircuit : Son opinion sur Kristen Stewart et le challenge de sa célébrité avec Twilight affectant la perception de son travail en cours.
Peter Sattler : Kristen se heurte souvent à ça, ou du moins elle y est habituée. Certainement plus maintenant. C'est cette chose de "Oh vraiment ? Tu es dans un film sérieux ?" Et c'est "Ouais, je suis un acteur sérieux et et j'ai peut-être fait quelques navets, mais je peux vraiment faire un travail correct." Aussi, s vous regardez en arrière avant ces films, elle a fait un travail qui déchire. 

Sur la façon dont son film pourrait apporter au public qui n'a pas suivi Kristen Stewart de Twilight à des projets indépendants. 
Peter Sattler : Je pense que Camp X-Ray est un suivi parfait pour les personnes qui la suit à mesure qu'ils vieillissent. C'est un film sur une jeune femme qui traverse une crise de la vie à 25 ans et grandit, vous voyez ? Peut-être que certains de ses autres films ne sont pas liées aux enfants dans cette même manière, mais je suis intéressée de voir qu'elles seront les réactions, particulièrement des jeunes femmes. Après tout, c'est à propos du fait d'être une femme. 


SheKnows : Quand on a demandé à Peter Sattler ce qui l'a surpris le plus à propos du fait de travailler avec Kristen Stewart, il a dit, "Ma plus grande peur à propos de rencontrer Kristen, c'était que ça serait le plus petit film qu'elle aurait fait de sa vie. Quand je lui ai demandé si elle était d'accord avec ça, elle a dit, " Ouais, je m'en fiche, c'est juste du travail." Et elle est - elle est tout sur le fait d'y aller et de faire des moments honnêtes sur le film qui sonnent vrais." 

Comment avez-vous su que Kristen Stewart était faite pour le rôle ? 
Peter Sattler : Quand j'ai commencé à penser à elle, j'ai immédiatement réalisé la raison pour laquelle elle est parfaite pour le film c'est qu'elle était un parfait mélange entre la dureté et la vulnérabilité. C'est au cœur de ce personnage. 

Kristen est-elle similaire à Cole ? 
Peter Sattler : D'une certaine façon, oui. On a beaucoup parlé de ça. On voulait trouver des choses de notre propre passé qu'on pouvait s'identifier. Kristen cherche des rôles qui peuvent explorer une partie d'elle. Elle a définitivement la dureté en elle et c'est un peu un garçon manqué mais elle a aussi un côté très sensible qui est propre à elle. 

Est-ce qu'elle plaisante sur le tournage ? 
Peter Sattler : Si vous pouvez l'avoir sans surveillance et au bon moment, elle peut être très bavarde et marrante. C'est une personne très amusante et elle peut parler très rapidement si elle a quelque chose à dire. Elle a des côtés différents en elle. J'étais dans la même pièce de Kristen quand les paparazzi la pourchassaient. Elle garde ses distances et ne dit plus rien. Mais, quand elle se sent en sécurité, elle est très amusante. Elle a des rôles plus causants dans le travail et j'ai vraiment hâte de la voir dans une comédie. 

Pouvez-vous nous parler de l'alchimie direct entre Peyman Moaadi et Kristen Stewart ? 
Peter Sattler : C'est arrivé très rapidement. On a choisi Kristen en premier. Son directeur de casting a suggéré Peyman. On a fait un chat vidéo avec les deux et ils se sont sentis bien dans leurs personnages.



Starrymag : Parlez-nous des prémisses de Camp X-Ray et de votre personnage.
Lane Garrison : Il se situe à Guantánamo et Camp X-Ray était le terme dont les Marines appelé la portion de Guantánamo. Les gens ne sont peut-être pas conscients que je crois qu'à peu près 180 détenus sont toujours gardés là-bas. L'histoire se déroule après le 11 Septembre et on balaye les terroristes partout dans le monde. On a pris un homme qui est appelé Ali, qui est joué par un acteur phénoménal nommé Peyman Moaadi. C'est un peu ambiguë s'il est innocent ou coupable. On se retrouve avec lui huit ans après qu'il ait été détenu. Vous voyez l'humanité des deux côtés des clôtures, du côté des gardiens et du côté des détenus. On essaye de raconter une histoire intime et d'humaniser l'histoire de ce qui se passe là-bas parce qu'il y a toujours 180 hommes qui sont dans les limbes. Ils n'ont pas pu avoir un jugement dans une cour de justice. Vous ne savez pas s'ils sont coupables ou innocents. Et parce qu'ils sont à Guantánamo, aucuns pays ne parlent d'eux. On se trouve pris dans un monde très sombre et tordu. Je représente probablement le côté sombre parce que je joue un jeune gardien de prison qui est désensibilisé à cause de son environnement. J'ai en quelque chose tout vu et ma philosophie c'est "Vous êtes tous coupables du 11 Septembre donc vous devez tous pourrir ici." Il est presque sans émotion jusqu'à ce que le soldat Cole (Kristen Stewart) et elle commence à réduire mon armure. Elle atteint le sommet de mon intérêt à propos de l'humanité et me fait me questionner sur des choses que je fais. C'est, de loin, la meilleure performance de Kristen. Les gens vont être épatés par sa performance et seront en larmes à la fin du film. Elle atteint le prochain niveau. Elle travaille très dur et j'ai beaucoup de bonnes choses à dire sur elle. C'est un film qu'on a tourné en 24 jours avec un budget limité et on a tous déversé notre cœur dedans. 

Quel genre de conseil Peter vous a-t-il donné et noté pour créer ce rôle ?
Lane Garrison : Peter est l'un de ces réalisateurs avec qui vous pouvez échanger des idées et il est entrainé par sa vision. Kristen et moi venions souvent avec des idées et il disait, "Ouais... non, je pense que c'est ça." Il était très définitif avec ses choix, ce que je respecte et on se disputait créativement. Il est fermé dans le scénario qu'il a écrit qu'il connaissait chaque nuance et moment. C'est génial de travailler avec un réalisateur comme ça parce que vous le faites confiance. Une fois que vous avez ça, c'était une sorte de chute libre. On la laissait se passer de la façon dont Peter le visionné et c'était, "Maintenant, on a nos personnages, c'est parti !"

Est-ce que l'alchimie et la connexion que vous aviez avec Kristen Stewart pour le film est quelque chose qui est venu naturellement ou vous avez mis du temps à le construire ? 
Lane Garrison : On a cette chose amour/haine qui se passé parce qu'on avait une bonne alchimie dans et hors écran. C'était bizarre parce que dans beaucoup de scènes je suis très arrogant et un tel connard qu'elle me donnait toujours ce regard comme si elle voulait me frapper dans la scène. elle me détestait avec mépris et une fois qu'on avait terminé de tourner on voulait toujours sortir. On a construit un practice et Kristen est une athlète incroyable. On jouait soit au basketball ou au golf dans cette prison pour se lâcher. Le poids et la gravité de chaque scène était très lourd et dense avec une matière qu'une fois qu'ils criaient, "Coupé!" on revenait à ce comportement d'amitié. Je sentais que c'était sain donc ce n'était pas un tournage horrible puisque c'était très intense. Il y a une scène où je l'agresse presque sexuellement et je commence à l'embrasser et je suis très agressif où j'essaie d'avoir plus d'elle. On a travaillé ça et on a tous les deux dit, "Allons-y simplement." Je pense qu'elle me faisait confiance et je lui faisais confiance. C'est toujours une situation bizarre quand vous êtes très intime avec quelqu'un, mais une centaine de personnes qui vous regardent le fait. Je pense que mon plus grand stress dans cette scène c'était d'être sûr d'avoir manger une centaine de bonbons à la menthe pour l'haleine. On faisait une prise et je courais et je faisais un bain de bouche et je prenais des bonbons à la menthe. Quand vous voyez la scène dans le film c'est génial et très intense. Honnêtement, c'est l'une de mes scènes préférées du film. La scène met vraiment en lumière la nature agressive à l'égard des femmes dans l'armée parce qu'elles sont une minorité. Vous êtes enfermés dans cet environnement donc vous voyez vraiment combien c'est difficile sur tous les aspects de la vie pour les femmes dans l'armée. 

Vous faites partie des média sociaux. Avez-vous hâte de voir les réactions des fans quand le film va sortir ?
Lane Garrison : Je pense que c'est génial parce que c'est une façon rapide pour passer le mot. Je pense que les réponses, pour la plupart, vont être très positif. Kristen a un grand groupe de fan qui la suit que ça va être rapide et ça sera comme une trainée de poudre. Je suis content pour ça et je suis content de  regarder à travers les médias sociaux. Déjà après quatre jours de la sortie de la bande annonce, on a eu près de quatre millions sur YouTube. Nous n'aurions jamais pu faire ça avant.




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