Robert & Kristen: Plus de NOUVELLES citations de Kristen pour l'Interview table ronde #1 pour 'Sils Maria' à Cannes

The Independent - Les scènes clés de Sils Maria sont de nombreuses discussions entre Maria et Val, sur la vie, l'amour et l'art.

“Oh mec!” dit Stewart. "Ce rôle est arrivé à point nommé et par hasard, il a été si parfaitement casté. Olivier ne l'a pas écrit avec moi en tête, mais dès que lui et son producteur Charles [Gillibert] ont envisagé de caster ce rôle - j'avais travaillée avec Charles sur Sur la route - ils m'ont envoyé le scénario et c'était comme, 'Mon dieu, c'est parfait'. C'est tellement plus pertinent pour moi de dire ces mots. Ce n'est pas la raison pour laquelle le film a été fait, mais c'était vraiment amusant à dire dans un film, hors contexte d'une interview, c'est si ridiculement effrayant, bizarre, super-surréaliste et étrange que les gens sont obsédés avec voracité à consommer des conneries."

J'avais discuté avec Stewart avant à deux reprises, la première fois sur le tournage d'Adventureland quand elle avait 17 ans, juste avant que Twilight change sa vie, et une autre fois donnant un coup de main sur une interview qu'elle faisait avec Stephenie Meyer en 2012. La deuxième fois elle qui m'est vraiment apparu comme très fragile, les deux fois elle était nerveuse. Elle est maintenant plus solide, son attitude entière beaucoup plus confiante.

Attirer l'attention est quelque chose que Stewart fait depuis qu'elle est apparue dans Panic Room de David Finger à l'âge de 12 ans. "Je suis vraiment chanceuse. Ma mère et mon père travaillent dans les équipes de production. Donc j'ai grandi sur les plateaux de cinéma et les amis de la famille étaient toujours des réalisateurs avec qui ma mère travaillait, et autre." Âgée de 13 ans, elle est apparue dans un film, Speak. "Mes parents avaient le travail le plus cool au monde. Je voulais être un membre de la production, mais à cet âge-là le seul travail que vous pouvez faire est d'être un acteur... Alors ensuite je m'y suis mise vraiment à fond."

(Note: Citation plus longue sur son tatouage):

"C'est une partie de Guernica, un tableau de Picasso que j'ai vu quand j'avais 18 ans à Madrid et il m'a terrassé. C'était la première fois que j'ai un jour réagit comme ça à une œuvre d'art. C'est une sorte de représentation lugubre avec cette petite parcelle de lumière - si vous rallumez juste la lumière tout ira bien. J'aime l'image, la combinaison de l'œil, le soleil et les gens en tant qu'ampoule comme s'ils faisaient un film. Littéralement, c'est juste parfait pour moi. J'aime le souvenir et l'idée: continu, garde la putain de lumière allumée."

(Note: Retranscription légèrement différente sur 'Take Me to the South'):

"J'ai récemment réalisée ce clip ["Take Me to the South" de Sage + The Saints] avec mon amie. C'est quelque chose que j'ai fait en quatre jours, une histoire amusante qui se rapporte à sa chanson. Mais je n'essaie pas de montrer quoi que ce soit à personne, mais il va attirer de l'attention qu'il n'aurait probablement jamais reçu normalement."

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IndieWire - "C'est ennuyeux que les gens pensent, 'Oh, est-ce le rôle via lequel elle va montrer à tous combien elle a grandi?,'" a dit Kristen Stewart à Indiewire vendredi dernier à Cannes. "Je ne cherche pas à montrer quoi que ce soit à quiconque."

Malgré ses nombreuses années dans l'industrie, Stewart trouve encore qu'elle a à prouver que c'est son talent qui l'a fait arriver là où elle est aujourd'hui -- non les Twihards.

Cette lutte était évidente lors d'une interview table ronde que Stewart a fait avec une presse triée sur le volet à Cannes l'après-midi suivant la projection de "Sils Maria" en compétition. Plus aussi timide avec la presse qu'elle l'a été lors de la promotion des premiers films "Twilight", Stewart a pris la table ronde avec une passion qui était palpable dans la façon dont elle articule ses réponses franches à chaque des questions. Il est clair qu'il y a une certaine lutte en elle. Voici les faits saillants:

• Elle ne pense pas à ses projets en tant que "produits."

"Je suis obsédée par ignorer l'idée que nous créons des produits. Je choisis vraiment chaque projet que je fais sur la base du désir, et sur la base de vraiment juste expérimenter le fait que cette histoire se fasse."

• Elle utilise sa célébrité comme un outil.

"Je viens de réaliser ce clip avec mon amie, et ça va être quelque chose qu'il n'est pas. C'est quelque chose que j'ai fait en quatre jours, c'était une petite histoire amusante, et il va recevoir plus d'attention que ce qu'il est censé recevoir. Je pense que c'est juste quelque chose sur quoi jouer. Si tu ne peux pas le changer, alors n'en soit pas effrayer - pousse plus fort!"

• Elle aime les blockbusters, tout autant que les petits indies - tant qu'ils sont bons.

"C'est tellemet possible de faire un [gros] film qui ait un sens et soit véridique, et de le mettre dans une sorte de cadre accru, de vraiment prendre des idées qui signifient quelque chose pour nous, mais les rendre plus efficaces en les mettant dans un monde étrange. Utiliser les conventions pour que les choses touchent plus durement."

"J'aime aussi juste genre, vraiment genre, les gros films. Je suis américaine, j'ai grandi avec eux. Mais je veux aussi qu'ils soient vraiment bon. Je pense que c'est tout à fait possible. Lorsque vous n'êtes pas complètement obsédé par le commercial, je pense que c'est possible."

• Elle n'était pas aussi proche de ses assistants que le personnage de Juliette Binoche dans le film.

"J'ai eu un assistant. Pendant qu'on faisait les films 'Twilight', je faisais un film entre chacun d'eux, donc j'avais besoin de quelqu'un à qui je pouvais demander des choses comme, 'Tu peux m'aider à acheter du papier toilette?'"

"Je n'étais pas aussi proche. Je l'ai vu cependant. C'est quelque chose qui m'est familier. Les acteurs deviennent super-isolé. Encore une fois, je ne suis pas entrain de m'en plaindre. Mais tu as une perspective très unique des choses car les gens ne te parlent pas. Ils ont l'impression qu'ils ne peuvent pas venir et dire, 'Salut.' Soudainement tu es incroyablement seule. Alors les gens embauchent des amis pour ces jobs, et puis les frontières se brouillent. Ils sont ton collègue, ton employé, ton associé, ton ami, ton maman parfois."

"Dans le cas du film, ce que je trouve qui le rend intéressant est que tu as deux femmes qui sont co-dépendantes et obsédées par l'autre à bien des égards. Et ils ne rentrent pas dans les catégories habituelles de ce que nous connaissons tous des relations. Notre relation devrait avoir une catégorie. Ce dont parle le film c'est d'avoir une relation vraiment unique dans un monde très ésotérique, et d'avoir une période très difficile jaugeant pourquoi cela arrive et comment y faire face. Sachant que c'est malsain et que tu devrais recevoir ces choses d'ailleurs, et de la façon dont tu polarise et de combien au moment même, ça vous rend vachement proche."

• Elle s'est fait un tatouage après avoir tourner "Sils Maria".

"Je l'ai fait à cause de ce film," dit Stewart après avoir été questionnée sur son nouveau tatouage sur son avant-bras droit. "J'ai donnée à Valentine [son personnage dans le film] des tatouages pour le film, donc on m'a fait des transferts. Tu ne sais rien sur Valentine, tout est question de Maria [le personnage de Binoche]. Et c'est un énorme aspect de l'histoire, qu'elle ne se concentre jamais sur elle-même. Ils ne parlent jamais de sa vie, jamais. Je voulais donner des petits signes de, 'Qui est-ce?' Au lieu de simplement jouer une assistante qui est typique. Elle a des intérêts, elle va à des endroits, tu ne sais juste pas où ils sont. Et donc je me suis tellement attachée à celui-ci que je l'ai fait."

"C'est une part de 'Guernica,'" dit t'elle du tatouage en lui-même. "C'est un tableau de Picasso que j'ai vu quand j'avais 18 ans et à Madrid. Il m'a putain de terrassé et c'est la première fois que j'ai réagit comme ça à une œuvre d'art. Il est juste parfait pour moi. J'aime ce à quoi il me fait penser. C'est comme 'continu, et garde la putain de lumière allumée.'"

• Elle ne se consière pas elle-même comme une actrice à 'performance'.

"Je suis juste le type d'acteur, et il en existe différents types, qui n'est pas après la performance. Je connais beaucoup d'acteurs qui putain aiment ça. Genre là tout de suite ils vous captiverez. Ça va à l'encontre de ma nature. Ces choses ne vont pas ensemble pour moi, ce qui rend ça parfois difficile."

• Elle sent qu'elle a été mal comprise quand elle a connu la gloire.

"Je ne dis pas que l'impression de quiconque sur moi est mauvaise (ce serait une chose stupide à dire), mais au début j'ai été jugée très ingrate, genre je m'en foutais. C'est une chose. Pense ce que tu veux de moi, mais NE pense pas que je m'en fou. C'était parce que j'étais nerveuse et j'étais terrifiée que tout le monde soit entrain de putain de me regarder."

• Elle sait comment gérer sa célébrité maintenant.

"J'ai totalement changée, juste dans la façon dont je peux gérer. Ce n'est pas qu'ils avaient raison, mais ils n'avaient pas tort. Je ne pense pas que je communiquais sur moi-même si facilement. J'étais juste totalement submergée. L'impression n'était juste pas en plein dans le mille. Je suis un peu plus âgée et je suis plus expérimentée sur ça. C'est plus facile de vous parlez les gars de ce sujet. Mais initialement, c'était juste assez impossible. Quand tu es sur le terrain et que tu ne peux pas penser - c'est une version ridicule de cela. Ça m'a explosé au visage. C'est hilarant que la perception soit que je m'en fou, parce que quand c'est arrivé, j'étais comme, 'Oh mon dieu, personne ne s'en soucie autant que moi!'"

• Elle n'est pas dedans pour la renommée.

"Avec certaines personnes tu te demandes pourquoi ils font toujours ce qu'ils font. Ce qui te conduit à ce stade? Ce job prend une dote, une chose dont je pense parle le film. Tu donne tellement de toi-même tout le monde. Ce n'est pas quelque chose dans ton bagage génétique que tu conserveras. Ca peut vraiment en quelque sorte vous détruire, penser constamment à ce que les gens pensent de vous. Les gens qui veulent être des stars de cinéma... ce sont de telles conneries. Ce type de vie est une force motrice énorme dans la vie de tant acteurs. Mais ils ne seront pas des personnes heureuses à la fin, parce qu'ils ne font rien pour eux-mêmes. Ils sont toujours satisfaisant."

• Elle pense que les acteurs sont "bizarres."

"Si tu n'as rien à fournir tu ne vas pas donner beaucoup," dit t'elle de son métier. "Sors et vis ta vie et montre nous quelque chose que tu as appris. J'ai beaucoup travaillée. Ce n'est pas comme si j'avais pris des pauses. Ce ne sont pas les pauses qui aident, c'est gérer l'entrée et sortie. La plupart des gens vivent leurs vies avec joie. L'impulsion de faire des choses n'est pas chez tout le monde. La plupart des gens qui ont cette impulsion sont bizarres. Ils ont besoin de prendre soin d'eux-mêmes."

Picasso - Guernica