Drake : Non.
Kristen : C'est un question bizarre. De premier instinct on est toujours là "Oh je déteste ça, je ne veux pas ça. Si je pouvais simplement ne pas ressentir ça." Mais le film parle de ces personnes qui vivent en collectivité et on est très préoccupé par la nature progressive de notre culture. Même si il y a une absence complète de culture. Nos émotions sont complètement étouffer, vous voyez tout ce qui est en rapport avec la colère, la peur... On est complètement neutralisé. Ça amène certaines questions comme: est-ce que vous iriez vous coucher ? Est-ce que vous existeriez encore ? Probablement pas. Je pense que pour réellement avancer et évoluer, il ne faut pas ignorer son cœur, ses émotions. Il faut faire en sorte qu'ils puissent coinsider.
Nicholas : J'aimerais ressentir des émotions car c'est ce qui anime le métier d'acteur. Vous ressentez quelque chose, quelque chose d’honnête et réel sur le tournage. C'est beaucoup de Drake qui vous demande d'en faire moins. Ce qui est vraiment sympa d'entendre de la part d'un réalisateur, car en règle général c'est plutôt le contraire. On vous dis, "Fais ci, fais plus comme ça...".
Kristen : Et quand tu essaye de faire quelque chose et qu'il te sort "arrête d'essayer".
Nicholas : Oui, et donc tu as l'impression de rien faire; puis ensuite Drake fais ressortir ce qu'il se passe en vous. Donc, je suppose.
Drake : Grâce à ça ce fut un expérience incroyable. C'est supposé être le boulot et montrer comment on doit travailler, je veux dire avoir des acteurs qui se positionne sur une marque et récite une ligne. Mais c'était bien loin à propos de l'exécution mais plus à propos de l'exploration de nous-même en tant qu'être humains et ce qu'est l'amour.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.